L’accès à la connaissance

Le cerveau de l’être humain, couplé aux autres parties du corps, intercepte les signaux émis par les éléments qui le composent et l’entourent, puis les transforme en images. Cette aptitude m’as permis de visionner la physionomie des différentes unités de matière : de la particule élémentaire à la galaxie, sans oublier les particules échangées lors de leurs interactions.

Logiquement, j’ai pu reconstituer le déroulement de la genèse de « l’Univers » -espace que peut observer les astronomes avec leurs télescopes.

Généralités sur la formation des différents éléments de l’univers

Lorsqu’une quantité de matière se retrouve confinée dans un certain volume, les échanges avec le milieu extérieur forment à sa périphérie un signal favorable à des interactions, liant certains matériaux présents sur ce lieu. Ainsi il se forme une membrane, créant un nouvel élément et l’isolant partiellement de son milieu extérieur.

Le degré de complexification et la pérennité de l’organisation de la matière dépendent de la stabilité du milieu. Si dans ce dernier, les échanges entre les différentes entités se font de façon harmonieuse, on assiste à une préservation de celles-ci. Sinon dans le cas contraire, apparaît une réorganisation de la matière : formation de nouvelles structures ou/et destruction d’entités existantes. Ce processus stabilise le milieu.

L’organisation d’un milieu est guidée par la recherche de l’équilibre et s’explique naturellement par le phénomène d’osmose : diffusion de matière entre les différents compartiments (entités) du milieu à travers des membranes semi-perméables suite aux différences de densité en matière entre ces derniers. Cette activité n’aboutit jamais à une parfaite égalité, le rééquilibrage d’un milieu ce fait au détriment d’un autre, heureusement, car la vie et le temps n’existeraient pas.

Des observations précédentes, émerge le plan général de l’organisation de la matière. On voit des éléments (quarks, nucléons, atomes, molécules, organites, cellules,…) qui se regroupent sous l’impulsion de leurs interactions, formant ainsi des unités de plus en plus complexes.

Le chronon

Au commencement, la poche de l’Univers, que nous pouvons observer, était composée d’un volume de grains de matière. Par la suite, on nommera ces entités primordiales de la matière : chronons.

Océan de chronons à partir duquel a émergé les entités de l’Univers observable

Comme l’explication de l’origine de la matière, celle de la nature des interactions entre les entités primordiales (chronons) semble être hors de portée de notre capacité à raisonner. On supposera aussi que ce chronon est la particule élémentaire (sans structure interne) car elle est la brique avec laquelle sont construites les autres particules.

L’hypothèse de l’existence de ces entités et de ces interactions, nous autorise à élaborer le déroulement de la genèse des autres éléments.

Le photon

Quand un certain nombre de chronons interagit, il se forme un agrégat. A sa périphérie, les interactions étant plus nombreuses (échange important avec le milieu externe), les chronons sont plus fortement liés, attribuant à cet agrégat une membrane d’où la production de ce photon.

Le Photon

La synthèse de ces photons s’arrête lorsque le nombre de ses éléments de base (les chronons) par unité de volume est insuffisant. Logiquement, à un certain stade de cette synthèse, ce seuil minimal n’est plus atteint car cette dernière appauvrit le milieu en chronons.

Cette particule, de forme sphérique irrégulière, renferme un certain nombre de chronons qui varie selon la densité de ceux-ci dans le milieu externe. Ces échanges se font à travers sa membrane lorsqu’il existe une différence de potentiel avec l’extérieur. Chaque interaction se solde par un rééquilibrage entre les deux parties, mais le milieu extérieur évolue constamment, ce qui se traduit par des échanges ponctuels sur une durée de temps infinie. Ce photon à une autre particularité, il émet des chronons à sa surface lorsqu’il subit des frottements. Plus précisément, ces derniers chassent les chronons se trouvant sur la face externe du photon. A cet endroit, se crée une différence de potentiel négative, les chronons présents à l’intérieur de la membrane du photon sont attirés et viennent combler cet espace.

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